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Décrocher son premier job d'UX writer - Partie 2/2
#31 Interview de Fatiha Belabed Aïd, Content designer
Bien le bonjour !
Comment allez-vous ?
Je fais ma rentrée par ici, après un mois de septembre bien chargé en rencontres (avec plusieurs d’entre vous d’ailleurs), en événements et en opportunités. J’ai aussi bien avancé sur un projet dont je vous reparlerai très bientôt (il y a de la formation dans l’air…🙊). Bref, en avant pour une nouvelle interview 🚀
Au sommaire de cette nouvelle édition :
Décrocher son premier job d’UX writer 2/2 - Interview de Fatiha Belabed Aïd, Content designer chez Mews
Les prochains événements francophones autour du Content design
Tour d’horizon des jobs d’UX writer
Bonne lecture 📄
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Décrocher son premier job d’UX writer 2/2
Interview de Fatiha Belabed Aïd, Content designer chez Mews
Précédemment Content designer chez Livi, entreprise qui développe une solution de consultation médicale en ligne, Fatiha est désormais Content designer chez Mews, entreprise qui simplifie et automatise toutes les opérations liées à l’hôtellerie. Avant de décrocher ces deux premiers jobs, Fatiha a passé plusieurs entretiens. Aujourd’hui, elle nous partage certains enseignements issus de son expérience.
Après 4 ans chez ENGIE où tu as évolué de Communication Officer à Content Strategist & Writer, tu as rejoint Livi en tant que Content designer. Pourquoi cette envie de changer de job ?
Lors de mes études, l’un des cours qui m’a le plus marquée était un cours de design. Mais à ce moment, j’étais plutôt frileuse à l’idée de m’y lancer. La suite logique de ma formation était de m’orienter vers les métiers de la communication, et notamment du contenu. Après 3 ans, je me suis rendue compte que ce que je faisais ne me correspondait pas tout à fait.
Je suis tombée sur un article écrit par un UX writer qui expliquait son métier. Le déclic. Cela correspondait à l’amour que je porte aux mots et à mon envie de faire du design.
Ce qui m’intéresse le plus dans le design est l’échange avec les utilisateurs·trices et l’amélioration du produit qui en découle. C’est une remise en question continue.
J’avais envie d’avoir un travail qui ait du sens. Et je l’ai trouvé avec l’UX writing.
Pendant un an, je me suis progressivement formée en écoutant des podcasts, en participant à des événements, en échangeant avec plusieurs UX writers (dont toi), et surtout en lisant !
À l’issue de ton apprentissage, tu as postulé à différentes offres, et notamment auprès de Livi. Comment te prépares-tu à un entretien ?
Je fais beaucoup de recherches sur l’entreprise, je lis des articles, j’écoute des podcasts où l’entreprise intervient ou ses salarié·es. Ça me permet de comprendre la culture et les valeurs et de voir si cela me convient.
J’imagine ensuite les objectifs potentiels de l’exercice qui sera à réaliser lors de l’une des phases de recrutement.
Quelles étaient globalement les étapes du processus de recrutement de Livi ?
Globalement, que vous postuliez ou que vous soyez “chassé·e”, comme dans beaucoup d’entreprises, le premier entretien se passe avec un·e recruteur·euse. Iel identifie les motivations et compétences de base. Ce moment du processus se concentre aussi sur la personnalité, selon si celle-ci correspond ou non avec les valeurs de la boîte. C’est une demi-heure pour tout prouver, voire 15 minutes ! (rires)
J’avais pris beaucoup de temps à travailler ma présentation, pour savoir me vendre en entretien.
La deuxième étape a eu lieu avec le manager. Je devais présenter un projet sur lequel j’ai travaillé. Cela demande pas mal de préparation, d’autant plus si vous choisissez de faire une présentation visuelle, comme cela a été mon cas.
La troisième phase consistait en un exercice. Typique : comment améliorer des écrans. J’ai eu carte blanche.
Le dernier entretien m’a permis de rencontrer des membres de l’équipe, pour voir si nos personnalités matchaient.
À chaque étape, j’ai pu poser mes questions pour en savoir plus sur le fonctionnement des équipes et sur la culture de l’entreprise.
Ce processus est donc essentiel pour l’entreprise mais tout autant pour le ou la candidate.
Puisque tu en parlais, revenons-y : comment te présentes-tu auprès d’un·e recruteur·euse ?
Je me suis formée en regardant des vidéos de pitchs pour apprendre à se présenter en 2 minutes. Les américains sont très forts pour cela. Je vous conseille d’aller regarder ce genre de vidéos, comme celle de Self Made Millennial.
Ma présentation résume d’où je viens, ce que je fais actuellement, ce que je veux faire plus tard et ce que je peux apporter à l’entreprise.
Savoir se présenter donne une première bonne impression au recruteur.
Il faut également savoir présenter ses projets auprès du manager, en expliquant sa manière de travailler.
Ce n’est pas forcément des projets d’UX writing. Par exemple, j’ai présenté un projet mené lors de mon expérience en communication. Le challenge étant de relier ce projet à des compétences essentielles à l’UX writing.
À l’issue de l’entretien, le ou la manager doit être en capacité de savoir les compétences que tu maîtrises et celles sur lesquelles tu dois progresser. Selon moi, il faut être honnête. De mon côté, je ne maîtrisais pas la recherche, j’avais des connaissances, mais je n’avais pas encore pratiqué. Je voulais vraiment progresser là-dessus.
L’UX writer est d’ailleurs un profil qui évolue rapidement et sait s’adapter.
L’inquiétude qui revient souvent chez des personnes qui aimeraient trouver un job d’UX writer, c’est qu’elles ont l’impression qu’elles n’ont aucun projet à présenter. Alors oui, elles n’ont peut-être pas de projets d’UX writing à montrer, mais elles en ont d’autres, issus de leur expérience, et dans lesquels elles peuvent trouver des recoupements avec l’UX writing.
J’avais la même inquiétude au début de ma reconversion. Mais l’une des personnes avec qui j’ai échangé m’a conseillé d’aller fouiller dans les projets professionnels que j’ai menés. Et oui, j’ai trouvé quelques similitudes. Pour les métiers de l’écriture, certains savoirs et savoirs faire sont applicables à l’UX writing. In fine, on n’est jamais vraiment junior. On a tous et toutes des points forts issus de notre expérience professionnelle et qui sont essentiels à l’UX writing.
Outre les projets issus de mon expérience passée, j’ai également présenté mes propres projets d’UX writing, créés de toute pièce. On peut se former au process de design et à certaines spécificités du métier d’UX writer pour avoir la théorie, et la mettre en pratique grâce à des projets fictifs.
J’ai été fortement inspirée du portfolio de Jeff Shibasaki, UX writer. Il a créé plusieurs case studies sur son portfolio sur des projets fictifs. Il identifie des problèmes sur certaines applications (l’exemple en lien est celui de Disney +), qu’il résout par la suite, en montrant son cheminement.
D’ailleurs, vous pouvez tout à fait faire la même chose avec l’UX writing challenge proposé par UX writing Hub.
De mon côté, je me suis amusée à retravailler l’application d’Air France. J’ai challengé la structure des écrans pour proposer quelque chose de nouveau. Ça m’a d’ailleurs permis de me faire la main sur Figma.
Il y a plein d’applications qu’on utilise au quotidien et que l’on peut travailler. Ces projets fictifs peuvent nous permettre de nous faire la main et d’enrichir notre portfolio quand on est débutant.
Par contre, on peut être frustré·e de ne pas pouvoir présenter et argumenter ses projets fictifs à l’entreprise qui recrute, et donc ne pas pouvoir se vendre aisément quand on envoie sa candidature.
En fait, c’est surtout le cas avec les agences de recrutement. Il y a toujours un gap entre le recrutement par une agence et le recrutement interne à l’entreprise. Avec les agences, j’ai toujours eu l’impression de faire face à un mur. Il est vraiment difficile de se vendre, surtout si l’entreprise a demandé à recruter un·e senior. Les agences s’arrêtent à cette seniorité, si tu ne l’es pas, c’est ciao ! Tu ne peux pas te défendre.
J’ai vite arrêté de cibler les agences. Les recruteurs et recruteuses internes de l’entreprise sont généralement formé·es au métier. Tout du moins, iels comprennent les enjeux et les compétences.
Même s’il arrive que ce ne soit pas le cas. En effet, ça m’est aussi arrivé d’être face à un mur avec un recruteur interne. Il ne voulait pas se détacher de mes expériences en communication, alors que je voulais lui prouver qu’avec mes projets fictifs j’ai pu m’entraîner et progresser en UX writing.
Après, je pense que c’est révélateur de la maturité de l’entreprise. Si le recruteur ou la recruteuse ne perçoit pas la plus-value que je peux apporter, il y a aussi quelque chose qui pêche du côté de l’entreprise.
A contrario, j’ai passé des entretiens avec des boîtes, avec une bonne culture design, qui comprenaient là où je pouvais apporter de la valeur. Avec les exemples que j’apportais et les questions que je posais, iels se rendaient compte de ma façon de penser, qui correspondait à la culture design de l’entreprise.
D’ailleurs, ça doit toujours être une discussion. Quand on présente un projet ou un exercice, cela ne doit pas aller dans un seul sens, le ou la candidate face à l’entreprise. Ça doit vraiment être un échange, constructif. Cela permet de montrer notre capacité à être challengé et à rebondir.
Ce qui a fait la différence lors de mon recrutement chez Livi, c’est ma capacité à prendre les retours, de les intégrer rapidement et de ne pas hésiter à approfondir les réflexions. Toujours rester humble. C’est d’ailleurs la qualité majeure d’un·e designer à mes yeux, iel doit être capable de prendre les retours.
Entièrement d’accord avec toi. Hier encore, je parlais des 3 qualités essentielles pour être designer : l’empathie, la capacité à accepter les retours et celle de challenger son propre travail.
Oui, et aussi ta capacité à travailler en équipe. En entretien, j’ai eu beaucoup de questions sur ma façon de collaborer avec les designers. C’est l’essence même du métier : ta capacité à interagir avec les différentes expertises. Qu’il s’agisse de product managers, de designers, de développeurs·euses, mais aussi de personnes du marketing et bien sûr d’utilisateurs·trices qui ont eux-mêmes leur expertise (qui plus est quand tu t’adresses à des professionnels, par exemple des médecins ou des psychologues chez Livi).
Si on revient à ton portfolio, comment est-il conçu ?
La première version de mon portfolio s’est complètement inspirée de la structure de celui de Jeff Shibasaki : contexte, problème et solution. D’ailleurs, pour construire votre portfolio, c’est intéressant de regarder ceux de designers pour voir comment iels présentent leurs projets.
J’ai retravaillé un parcours d’Air France et j’avais également intégré l’UX writing challenge dont on parlait.
L’objectif était de montrer comment je réfléchissais. Je présentais :
l’état d’esprit de l’utilisateur·trice à tel et tel moment de l’expérience
l’impact que cela peut avoir sur le parcours
ce qui vient en amont de cette expérience et aussi en aval
la voix de la marque, et le ton selon le moment de l’expérience
À partir de tout cela, j'imaginais les parcours.
J’ai construit la deuxième version de mon portfolio après ma première expérience chez Livi. J’ai pris le réflexe de documenter mes projets dans Notion, en reprenant les phases de contexte, de problème et de solution. On y retrouve mes recherches, les conclusions de design critics, l’évolution de mes microcopies et des structures d’écrans. Je peux ainsi reprendre ces éléments pour les mettre en forme dans mon portfolio.
Un portfolio doit être vivant et évoluer avec le temps. C’est pourquoi je l’actualise et le partage ensuite avec quelques personnes de mon entourage pour avoir des retours et l'améliorer.
En général, j’ai deux versions de mon portfolio : celui qui est visible en ligne, et une version en slides adaptée pour les présentations.
Comment abordes-tu l’exercice qui est généralement demandé pendant le processus de recrutement ?
Comme pour mon portfolio, je me suis inspirée de vidéos d’entretiens de designers anglo-saxons. Généralement, on retrouve la même structure.
J’aborde donc l’exercice en quatre étapes :
La compréhension du contexte de l’entreprise : je prends le temps d’étudier l’entreprise, de comprendre son business model, ses valeurs, etc. Cela me permet également d’avoir quelques indices concernant son positionnement ou la voix de la marque par exemple.
La compréhension de l’expérience globale : est-ce que le parcours me paraît logique ? Je fais plusieurs recherches, je compare le parcours à celui d’autres concurrents et je pose des questions autour de moi pour comprendre le modèle mental des utilisateurs·trices.
La construction de la user story de l’utilisateur·trice : ce qu’iel souhaite faire et ses motivations.
Le retravail du parcours et des écrans en présentant un avant-après, et en analysant selon 4 axes :
Le visuel, sur lequel je fais des retours
Le content design, qui inclut l’architecture d’information et la microcopie - si j’ai des doutes sur des termes, je présente les questions que je poserais à l’utilisateur·trice pour affiner mon choix
L’aspect product thinking, c’est-à-dire les impacts business que peut avoir tel écran et tel choix de mots
Des suggestions additionnelles sur le parcours, des propositions d’indicateurs de mesure et de tests utilisateurs
Si la structure d’un écran ne me semble pas être bonne, je n’hésite pas à le refaire sur Figma, même si ce n’est pas forcément joli et propre (je ne suis pas une experte).
Bien sûr, tout cela demande du temps. L’idéal est de pouvoir faire l’exercice chez soi, avec un délai de 2-3 jours. Mais parfois, on fait l’exercice dans les bureaux de l’entreprise avec un temps imparti (par exemple 3 heures, même si logiquement ça prend bien plus de temps). Il faut donc adapter notre organisation selon le délai imparti.
Finalement, outre tes compétences d’écriture, c’est surtout ta façon de réfléchir, basée sur une approche scientifique (hypothèses, recherches, logique, etc.) qui est analysée et testée pendant le processus de recrutement.
Exactement.
Après, l’exercice ne se déroule pas dans un contexte réel. C’est-à-dire que, dans la vraie vie, quand un problème se pose, on réunit une équipe pour le résoudre. Un·e product manager lance le projet, auquel est attribué des indicateurs de succès et qui débute par une phase de découverte et de recherches. On prend le temps d’identifier le problème, puis d’explorer plusieurs solutions. Il y a un travail collaboratif entre designer et UX writer. Il y a des échanges avec les développeurs·euses sur ce qui est faisable ou non. Il y a de nombreuses itérations de la solution choisie. Pour enfin la tester.
Lors d’un exercice, c’est difficile de prendre du recul sur son travail, car nous ne connaissons pas le produit et nous n’avons pas tout le contexte. C’est comme un premier jet que l’on doit présenter, avec le minimum de connaissances que l’on a et de recherches que l’on peut faire.
C’est pour cela que je pose des hypothèses pour définir une solution. J’explique et j’argumente mes choix. Je suggère également quelles recherches doivent être faites pour valider ou invalider telle ou telle hypothèse.
Mine de rien, en passant plusieurs entretiens, ta pratique évolue. Que t’ont apporté ou appris les entretiens que tu as passés ?
On m’a toujours dit “même si tu te plais bien dans ta boîte, ne refuse jamais un entretien”. En passant plusieurs entretiens, cela m’a permis de comprendre le marché et les besoins des entreprises.
Aussi, ça m’a appris à avoir plus confiance en moi. Si votre candidature est retenue, c’est parce qu’il y a quelque chose, on vous a choisi·e. Il ne faut pas hésiter à vous vendre et à prouver que vous correspondez à ce que l’entreprise recherche.
Ensuite, c’est essentiel de faire ses devoirs d’un point de vue salaire. Avant de passer le premier entretien, parce qu’on peut être très vite pris de court.
Il commence à y avoir des études sur les salaires de designers et maintenant d’UX writers. Par exemple, il y a l’étude très récente menée par UX Writing Hub.
Après, n’hésitez pas à questionner les UX writers et product designers que vous connaissez.
Enfin, ayez toujours à portée de main des études de cas préparées, sur les projets que vous avez menés, qu’ils soient réels ou fictifs. Le jour où quelqu’un vous propose un job ou vous postulez à une offre, vous avez tout sous la main.
Documentez donc vos projets pour alimenter votre portfolio. Si vous êtes déjà UX writer, en poste, prenez des notes sur vos projets, faites des captures de vos écrans Figma. Gardez tout cela sous le coude, car on oublie très vite. Même si vous ne recherchez pas un nouveau job. Même si c’est brouillon. Cela vous servira le jour où vous aurez envie de changer, vous aurez quelque chose de concret et complet à présenter.
Note à moi-même : je dois documenter mes projets et faire mon portfolio !
Aussi, dernière chose : être ouvert aux feedback, et montrer sa façon de travailler.
As-tu d’autres conseils pour décrocher un job d’UX writer ?
Ne pas hésiter à échanger avec des UX writers. Iels sont régulièrement sollicité·es, et donc au fait des jobs et missions freelances à pourvoir.
Les ressources incontournables de Fatiha pour se progresser en UX writing
Le portfolio de Jeff Shibasaki
3 Steps to Answer Tell Me About Yourself, de Self Made Millennial
Le Content system de Shopify, l’un des plus complets, avec beaucoup de guidelines génériques, sur lesquelles on peut s’appuyer pour réaliser un exercice
Strategic Writing for UX, de Torrey Podmajersky
Content design, de Sarah Richards
UX writing, quand le contenu transforme l’expérience, de Gladys Diandoki
Hexagon UX, un programme de mentorat - Fatiha a aussi été accompagnée par une mentor pour apprendre à se vendre
Le site de Nielsen Norman Group
Et bien sûr, le portfolio de Fatiha
Vous souhaitez prolonger les échanges avec Fatiha ? Contactez-la sur LinkedIn ou directement par e-mail.
Bien sûr, toutes ces ressources ont déjà rejoint le centre de ressources pour progresser en Content design 😉
📅 Les prochains événements autour du Content design
Un beau programme de Content Design FR sur Clubhouse ce mois-ci !
Q&A autour du Content design - Discussion sur Clubhouse, par Content Design FR
Jeudi 6 octobre, 18h30 (heure française)
Le prototypage pour tous les designers - Content Design FR
Intervenant : Romain Dao, Senior product designer
Jeudi 13 octobre, 18h30 (heure française)
Design Conversationnel : pour quoi faire ? - Content Design FR
Intervenante : Maaike Coppens, VP of design
Jeudi 20 octobre, 18h30 (heure française)
Botwriter : le B-A BA pour rédiger un agent conversationnel - Content Design FR
Intervenant : Samuel Marc, Senior UX writer et Conversation designer
Jeudi 27 octobre, 18h30 (heure française)
Petite auto-promo glissée ni vu ni connu : mercredi dernier, je suis intervenue lors d’un meet-up organisé par UX Writers Fr - L’UX writing, du freelance au CDI. Le replay est déjà disponible.
🔍 Ça recrute !
Qonto est à la recherche 4 UX writers seniors
Le groupe AVIV recrute 2 autres UX writers - contactez Mélanie Michou
C’est au tour de la SNCF, The Sandbox et Testapic de recruter un·e UX writer
Prestashop et Sendinblue sont à la recherche d’un·e lead UX writer
Spotify recrute un·e Senior UX writer
Vous vous interrogez sur le métier d’UX writer ? Vous envisagez une reconversion professionnelle vers l’UX writing ? Je peux vous accompagner 😉
Pendant 1h30, en visio-conférence, je vous partage mes meilleurs conseils et vous guide pour devenir UX writer.
Le mot de la fin
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